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JOUETS

Majorette continue de tracer sa route et fête ses 50 ans
Les couleurs vives des Majorette ont de tout temps contribué au succès .
Inscrite dans le patrimoine français du jouet, Majorette a su, avec ses voitures miniatures colorées, s’imposer à plusieurs générations d’enfants depuis 1964. Elle fête ses 50 ans pour Noël.

Un succès mondial tout tracé. En cinquante ans, Majorette a toujours su faire pétiller le regard des enfants, et parfois même des parents.

Avec ses voitures miniatures, aux couleurs souvent éclatantes, la marque lancée en 1964 par le Lyonnais Émile Véron a rapidement connu le succès. Elle a tout d’une grande, pas seulement à l’échelle française mais au niveau mondial. En 1980, Majorette rachète Solido, célèbre fabriquant français de miniatures de collections, confortant sa place de leader dans son domaine.

Les modèles
Le premier modèle de Majorette produit était une BRM (British Racing Motor) formule 1 de 1962. Le point de départ d’une très longue histoire industrielle surfant sur de nombreuses marques et modèles… Au fil de son histoire, Majorette a vu ses gammes se diversifier avec ainsi, vers l’an 2000, des circuits, des véhicules télécommandés. « Chaque année », précise Amandine Cusenier, chef de produits Senior chez Smoby Toys, Jura, « nous développons de nouveaux modèles qui collent aux véhicules que nous croisons tous les jours dans la rue ». Et d’ajouter : « Certains modèles ont par exemple des suspensions, d’autres des parties ouvrantes (portières, coffres) ».

Succession de rachats
En 1992, soit cinq ans après avoir investi dans une usine en Thaïlande (elle emploie aujourd’hui 650 personnes), Majorette, qui souffre de la concurrence internationale, dépose le bilan pour la première fois.

L’entreprise est rachetée en 1993 par Idéal Loisirs, à son tour reprise par Triumph-Adler en 1996. Majorette et Solido rejoignent Smoby en 2003 : elles poursuivent leurs activités sous le nom de Smoby Majorette. Laquelle société sera reprise en 2008 par Simba… mais sans sa filiale Majorette, rachetée par une compagnie financière française. En 2010, Majorette retrouvera le giron de son ancien propriétaire, Smoby Toys, intégrant donc le groupe allemand Simba Dickie. Moins d’une trentaine des 73 salariés de Dagneux (Ain), qui est alors le dernier site français de Majorette, sont repris.

Innovation et passion
Pour Amandine Cusenier, chef de produits Senior, la force de Majorette réside dans « la qualité de nos produits, notre créativité, les innovations et la licence ». Mais ce qui caractérise à ses yeux l’esprit de la société est avant tout « la passion de la petite voiture ». Entre 8 et 10 % du chiffre d’affaires annuel (1) est dévolu à la Recherche et Développement (y compris le développement des moules). Aujourd’hui, les véhicules « die cast » (en métal) de Majorette sont tous fabriqués en Thaïlande, un pays dans lequel la société est implantée depuis 1987. La gamme de véhicules radiocommandes sous licence est, elle, de fabrication chinoise. Quatre modèles de garages sont estampillés Made in France, et plus précisément Made in Jura avec une production à Arinthod, au sein de la société Smoby, et donc sur son site de production.

Par Valérie BRUNO
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Ce que nous avons depuis quelques années est un très beau renouveau je trouve . nous avons tout de même le retour des suspensions et parties ouvrantes qui avaient eu tendance à disparaitre . Et la qualité de fabrication s'est grandement améliorée ne l'oublions pas . nous savons déjà qu'il y aura des Adam , des Evoque et des Golf 7 GTI

C'est vrai aussi et nous avons encore des variantes de feux comme sur le crz pourvu soit de phares plastiques à l'ancienne ou moulés en carrosserie

ce qui serait super c'est des vitrages à l'ancienne ainsi que des intérieurs avec d'autres couleurs que le noir ou gris comme dans les années 80 et surtout des réeditions d'anciens modèles (c'est beau de rêver)

elles ne sont presque pas parties (ex kangoo "la croix rouge")

Les majopub a l'origine etaient conçues comme outil commercial pour des entreprises privées . par exemple une société de transport de marchandise pouvait avoir des camions serigraphiés a son effigie , c'était des cartes de visite originales
Les " croix rouge " sont des licences par majorette