la delocalisation pour ne pas disparaitre
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la delocalisation pour ne pas disparaitre
en 1987 , la production est délocalisée en Thaïlande. L’usine située dans la zone industrielle « Nava Nakorn Industrial Promotion Zone » dans la province de Pathum Thani , passe d’une superficie de 1.000m² à 13.000 m² et emploie aujourd’hui environ 700 personnes.
En 1990, les premières voitures équipées des fonctions sons et lumières plus connues sous le nom de " sonic flashers " ainsi que des garages viennent agrandir la gamme de Majorette
1992, L’entreprise doit déposer le bilan pour la première fois. En 1993, elle est rachetée par Idéal Loisirs qui est à son tour repris par Triumph-Adler en 1996 (fabricant allemand de bureautique, pour se diversifier dans le jouet) qui s’en désengage en 2000. La descente aux enfers continue : après une délocalisation complète des activités de fabrication de miniatures à la fin des années 1990 du bassin Lyonnais (Rillieux-La-Pape) vers la Thaïlande,
2000, À l’occasion du nouveau millénaire, des circuits, des véhicules télécommandés et bien d’autres produits encore viennent enrichir la gamme de produits, mais la production en Thaïlande s'accroît très vite. La qualité des détails baisse, la plupart des nouveaux modèles ne disposent plus d'accessoires mobiles (portières, capots), les châssis sont désormais en plastique.
2003, Majorette et SOLIDO rejoignent le groupe Smoby qui poursuit les activités des deux entreprises sous le nom de « Smoby Majorette », laquelle doit également déposer le bilan en 2007 après des rachats importants, Smoby est placé en liquidation judiciaire à nouveau. C'est l'américain MGA Entertainment Inc., propriétaire de grandes marques de jouets et de licences sur des produits dérivés, qui reprend l'ensemble du groupe Smoby avec un consortium de banques internationales. En 2008, après le placement en redressement judiciaire du Groupe Smoby-Majorette, c'est La compagnie financière française MI 29 qui rachète Majorette.
Faute de nouveautés, d’une qualité en baisse et de gammes (notamment les « Fiction ») boudées, la marque est moribonde, mais cela n’empêche pas le groupe Allemand Simba-Dickie de reprendre la plupart des activités du groupe Smoby Toys au début de l’année 2008, sauf la marque Majorette qui est reprise par le fonds d’investissement français MI29. Les déboires continuent, et en 2009 les miniatures sont à nouveau en redressement judiciaire, et reprises par… Smoby Toys en 2010, qui licencie les 2/3 des 73 salariés restants pour les activités du fabricant dans l’Hexagone. Ironie de l’histoire, l’autre candidat-acquéreur à la reprise du groupe français n’était autre que… Norev, dirigée depuis 1986 par la famille Fischer.
En 1990, les premières voitures équipées des fonctions sons et lumières plus connues sous le nom de " sonic flashers " ainsi que des garages viennent agrandir la gamme de Majorette
1992, L’entreprise doit déposer le bilan pour la première fois. En 1993, elle est rachetée par Idéal Loisirs qui est à son tour repris par Triumph-Adler en 1996 (fabricant allemand de bureautique, pour se diversifier dans le jouet) qui s’en désengage en 2000. La descente aux enfers continue : après une délocalisation complète des activités de fabrication de miniatures à la fin des années 1990 du bassin Lyonnais (Rillieux-La-Pape) vers la Thaïlande,
2000, À l’occasion du nouveau millénaire, des circuits, des véhicules télécommandés et bien d’autres produits encore viennent enrichir la gamme de produits, mais la production en Thaïlande s'accroît très vite. La qualité des détails baisse, la plupart des nouveaux modèles ne disposent plus d'accessoires mobiles (portières, capots), les châssis sont désormais en plastique.
2003, Majorette et SOLIDO rejoignent le groupe Smoby qui poursuit les activités des deux entreprises sous le nom de « Smoby Majorette », laquelle doit également déposer le bilan en 2007 après des rachats importants, Smoby est placé en liquidation judiciaire à nouveau. C'est l'américain MGA Entertainment Inc., propriétaire de grandes marques de jouets et de licences sur des produits dérivés, qui reprend l'ensemble du groupe Smoby avec un consortium de banques internationales. En 2008, après le placement en redressement judiciaire du Groupe Smoby-Majorette, c'est La compagnie financière française MI 29 qui rachète Majorette.
Faute de nouveautés, d’une qualité en baisse et de gammes (notamment les « Fiction ») boudées, la marque est moribonde, mais cela n’empêche pas le groupe Allemand Simba-Dickie de reprendre la plupart des activités du groupe Smoby Toys au début de l’année 2008, sauf la marque Majorette qui est reprise par le fonds d’investissement français MI29. Les déboires continuent, et en 2009 les miniatures sont à nouveau en redressement judiciaire, et reprises par… Smoby Toys en 2010, qui licencie les 2/3 des 73 salariés restants pour les activités du fabricant dans l’Hexagone. Ironie de l’histoire, l’autre candidat-acquéreur à la reprise du groupe français n’était autre que… Norev, dirigée depuis 1986 par la famille Fischer.
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la confiance n'exclue pas le contrôle
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